Dés ma plus tendre enfance, j’ai été tagué comme une enfant ayant un problème avec la nourriture.
J’ai grandi avec cette étiquette qui m’a valu nombre de remarques, de critiques, de jugements, de la part de mon entourage, dans ma famille, à l’école, ou plus tard à mon travail.
Je suis devenue adulte avec cette idée ancrée dans la tête que je n’étais pas « normale »… que j’avais un « problème » avec la nourriture… que je ne mangeais pas « comme les autres ».
J’ai attendu 29 ans avant d’oser aller voir quelqu’un.
Il y a un peu plus de trois ans, j’ai choisi presque au hasard un médecin dans les pages jaunes.
C’était le Docteur Chiva.
Au premier entretien téléphonique, j’ai tout de suite senti que j’étais bien tombée.
Elle m’a mise en confiance, m’a accompagnée avec beaucoup de bienveillance, m’a aidée à découvrir qui je suis,
à comprendre mon passé et surtout à m’accepter.
Plutôt que d’appliquer une méthode toute faite, sous forme de remède ou de programme miracle, le Dr Chiva m’a appris à écouter mes propres besoins, à faire confiance à mon corps et surtout à me faire confiance.
Grâce à son aide, je sais maintenant que je n’ai pas de problème avec la nourriture, qu’il n’y en a jamais eu. J’ai des goûts différents, peut être plus restreints que la moyenne, mais qu’importe.
Aujourd’hui, je poursuis mon chemin. Il ne sera sûrement pas de tout repos, mais le travail entamé avec le Docteur Chiva me permet de le faire de manière plus sereine. En cessant de me soucier du regard des autres et surtout en cultivant ma différence, car j’ai enfin compris que c’est une grande richesse.
Marion, en lutte avec son poids et son corps depuis sa pré-adolescence
« Bonjour, je m’appelle Marion, j’ai 26 ans et depuis mon adolescence mon corps a toujours été un frein à mon épanouissement. Le Dr Chiva fait des miracles et a réussi à me sortir complètement de la boucle infernale des régimes. Avec le Dr, j’ai appris à retrouver une relation « amicale » avec mon corps, à l’apprécier, à être à l’écoute de ses (vrais) besoins; à en faire un partenaire de vie et non un ennemi. Du coup, j’ai déjà perdu 7 kilos, plus que lorsque je m’affamais…Et en mangeant tout ce que j’aime (même des frites…). Le corps allégé, je reprends goût au mouvement, en me faisant du bien (marche à pied,…). Aujourd’hui, je mange pour me faire du bien/me faire plaisir et non plus pour me détruire. Rencontrer le Dr Chiva, arrêter la tyrannie des régimes, cela a vraiment profondément changé ma vie au quotidien. Merci Dr pour tout ce que vous faites et surtout continuez !!
Mon témoignage est un cri : OUI ! Il est possible de maigrir durablement sans martyriser son corps, en arrêtant de galérer de régime en régime !
Vincent, 37 ans, 130 kilos pour 1m80
“Si je suis gros, ce n’est pas parce que je ne mange pas les bons aliments.
Je me suis mis à manger trop, suite à un changement de boulot.
Pression permanente, rythme stressant, changements d’emploi du temps, déplacements fréquents…Je ne prenais plus le temps de manger et me suis mis à me goinfrer devant des écrans ou pendant mes trajets.
Pour maigrir, j’ai commencé à faire du sport. Dans la salle où je me suis inscrit, on m’a dit de manger des protéines. Mais cela n’a fait qu’aggraver mon état et ma prise de poids. Fatigue importante, souffrance musculaire, blessure des tendons, je me suis senti complètement déréglé. Le soir, je me jetais sur tous les aliments supposés interdits, dont j’essayais veinement de me priver (pain, fromages, gâteaux etc…).
En étant accompagné, j’essaie de retrouver peu à peu mes repères, de réapprendre à me nourrir de manière appropriée, calmement, avec davantage de souplesse et d’adaptation à mes vrais besoins et à mon emploi du temps.”
Sarah :
« Grâce à une approche à la fois comportementaliste et psychanalytique, le Dr Chiva m’aide à travailler sur mon comportement alimentaire.
Cette double approche me permet de réfléchir à mes comportements, pas seulement en terme de nourriture mais face à tout ce qui se passe, en moi, dans ma vie et de prendre du recul.
Son écoute et son professionnalisme me permettent d’améliorer mon quotidien et ce sont tous les aspects de ma vie qui en bénéficient. »
Annie :
« Bonjour, je m’appelle Annie, j’ai 31 ans et je suis suivie par le Dr Chiva depuis quelques temps. Après mes années de “régimes yoyo”, j’étais contente de trouver une écoute et une prise en charge globale. Je ne suis pas seulement une personne qui mange mais une personne à part entière avec un passé, des sentiments, une vie sociale. J’ai remarqué les progrès que j’ai pu faire et je sais les progrès que j’ai encore à faire. Rien n’est encore gagné mais je gagne les batailles les unes après les autres avec son aide. »
Alexandra, 44 ans
« Malgré plusieurs années d’analyse, je n’étais pas parvenue à pacifier ma relation à la nourriture. Manger trop, trop vite, des aliments à forte charge affective était comme une sorte de fidélité à ma mère, excessivement nourricière, envahissante, étouffante. Je me sentais coupable et dépendante par rapport à la nourriture, comme par rapport à ma mère. Manger autrement, sortir du “trop”, c’était encore m’éloigner d’elle…
En me réconciliant, grâce à vous, avec la nourriture, en abandonnant la culpabilité et les interdits pour le plaisir de la juste satiété, j’ai le sentiment de m’être, du même coup, libérée de ce lien toxique à ma mère. Je me sens moins vulnérable, moins coupable : comme avec la nourriture, je suis plus naturellement à l’écoute de mes propres besoins, plus attentive à mon propre équilibre. Plus distanciée peut-être, mais aussi plus sereine. Tout n’est pas encore gagné et je sais devoir rester vigilante mais quels progrès en si peu de temps ! »
K. qui a été anorexique à l’âge de 15 ans : « Une véritable libération »
« Car devenue prisonnière d’un quotidien alimentaire caractérisé par contrôle, privation et discipline, guidé par l’application de grands principes, et devenu invivable au point ne pas profiter pleinement de la vie. L’initiation au changement n’est certes pas simple, voire parfois difficile tellement son amorce bouleverse les règles édictées et les idées reçues finissant par constituer la norme.
Pourtant, l’expérience, reposant sur une approche à la fois psychologique et comportementale mais aussi gustative et sensorielle, doublée de persévérance, permet de se laisser convaincre. Cette démarche, assistée du Docteur Chiva, permet de renouer avec le corps (son image mais aussi son fonctionnement naturel) et de lui faire confiance à nouveau : ainsi, angoisse et frustration finissent-elles par laisser place au plaisir, partage, choix et diversité.
Une démarche qui force également à s’interroger sur la finalité de ces pratiques alimentaires obsessionnelles initiales. Un grand merci au Dr Chiva pour cet accompagnement qui met sur la voie du succès. »
Julie, 30 ans, stigmatisée sur son poids depuis l’enfance
« 5 mois plus tard…
J’ai commencé ma démarche fin juillet 2011 car je ressentais un profond mal-être dès que je mangeais. Après avoir fait Dukan, j’avais perdu 7 kilos en 3 mois que je reprenais petit à petit en mangeant normalement à mes yeux. Mais c’était plus profond car j’en étais arrivée à un point où j’étais obsédée par l’idée de manger et la peur de grossir. Manger n’était plus un plaisir mais un calvaire où j’avais honte devant mes amis, ma famille et mon ami. Je me disais que les autres jugeaient ce que j’avais dans mon assiette. En réalité, c’était moi qui me jugeais et mon physique me dégoûtait.
Au cours des 5 mois où j’ai travaillé sur mon comportement alimentaire et mes attitudes, j’ai été amenée à prendre conscience et toucher du doigt des points cruciaux, très durs, mais qui m’ont permis de comprendre pourquoi je mangeais comme ça et à quelles émotions correspondaient mes prises alimentaires.
J’ai compris que mes réactions étaient liées à mes états émotionnels mais aussi à l’attitude de mes parents qui m’a « alimentée » depuis près de 30 ans ; jeu relationnel dans lequel je suis entrée inconsciemment.
Ma mère fait une fixette sur son poids, elle me refile ses obsessions. Elle me dit toujours « Rentre ton ventre ! » et des phrases assassines comme « T’as pas besoin de ça ! » à table et « Tu serais tellement mieux si tu faisais quelques efforts pour maigrir. »
De mon père, je n’ai jamais eu de compliments. Il a toujours peur d’être gros. De l’avis même de ma mère, il est grossophobe. Tout cela m’a amenée à être très, trop, intransigeante avec moi-même, à ne pas m’accepter et à renier mon physique, voire ce que je suis. J’ai compris aussi que je grossissais non pas parce que je mangeais « mal » mais parce que je mangeais trop et que je me nourrissais de mes émotions. Je mange « sous émotions » et celles-ci guident mes prises alimentaires.
Aujourd’hui, je parviens à caractériser ces émotions, à savoir pourquoi je mange ceci ou cela, mes conditions d’alimentation. Mes comportements alimentaires dépendent de moi et je sais ce que je fais, ce que je mange, cela n’est pas la faute des autres. Je vois la réalité en face, même si celle-ci ne me plaît pas. J’assume, c’est un fait d’avoir grossi, mais je me sens mieux. Peu importe ce que pensent les autres, que mes parents n’assument pas mes rondeurs, je commence à m’affirmer et à m’accepter telle que je suis. J’apprends à être indulgente et bienveillante envers moi-même, en prenant du recul par rapport aux situations, en étant concentrée sur mes envies, mes besoins, en m’écoutant plus. J’apprends à analyser et à canaliser ces émotions nouvellement nommées. Cet apprentissage me paraît un peu dur et long mais c’est comme une convalescence.
L’important pour moi aujourd’hui est d’avoir réussi à balayer mes pensées malveillantes et de commencer enfin à m’apprécier telle que je suis. C’est le premier pas vers mon objectif de retrouver mon poids de forme et de perdre les kilos superflus que j’ai pris tout en essayant constamment de me restreindre et de me priver. »